« 2 solo albums finished ». Avec un tweet sorti de nulle part, The Internet a relancé une machine déjà bien huilée par le succès de leur dernier album, sorti l’été dernier. Un pour tous, et tous pour un. Endossant son rôle d’ainé, Matt Martians ouvre le bal avec un projet aussi abouti musicalement qu’il est désordonné.
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Leader de Monophonics, le Californien sort son premier album solo, The Tales People Tell, avec lequel il boucle la boucle d'une belle histoire de famille.
Au milieu des nouveaux noms de la scène londonienne, Alfa Mist fait figure d’électron libre, un musicien autodidacte n’ayant pas fréquenté les places fortes de l’estalishment musical. Loin de ce tumulte, sa musique invite à l’introspection.
Depuis qu’il a découvert le blues en Allemagne à la fin des années 1970, Big Daddy Wilson n’est plus le même homme. Renfermé, peu à l’aise en public, l’Américain est depuis devenu un bluesman intrigant, un artiste qui a longtemps raconté ses récits profonds en Europe avant de chercher à reconquérir sa terre natale. Son dernier album, Deep In My Soul, enregistré entre Memphis et l’Alabama, en atteste avec éclat. Rencontre.
Pour la sortie de son sixième album « 99 Cent Dream », Qwest TV est allé à la rencontre de cet artiste soul improbable qui plonge dans les racines du Mississipi, a écumé les clubs de blues de Clarksdale et trace aujourd’hui sa route à l’internationale pour délivrer un message d’amour.
Aziza Brahim avait une revanche à prendre sur la censure : après un concert à Paris annulé suite à des pressions diplomatiques, la chanteuse sahraouie a fait son retour dans la capitale le 26 avril dernier armée de son blues rock intense, victorieuse, le poing levé.
La chanteuse s'est imposée dans un milieu machiste, au point de signer de nombreux succès dans les années 1970. Icône carioca et inlassable militante, elle est décédée à l'âge de 72 ans.
Un tube et puis voilà. C’est l’histoire de Kokoroko en 2018. A l’heure où ces lignes sont écrites, « Abusey Junction » totalise 28 millions d’écoutes sur la plateforme. Il aura suffi d’un seul morceau pour que la notoriété exporte l’octet largement au-delà des frontières anglaises. Sur la foi de ce titre adressé au tout-venant, Kokoroko multiplie les sold out depuis plusieurs mois et se prépare à un été chargé en festivals.
Avec Wasalala, Yobu Maligwa et Yosefe Kalekeni font honneur à la banjo music : un premier disque conscient, optimiste, joyeux, où cordes et harmonies donnent à goûter un peu de Malawi.
Le Texan défend son nouvel album, Somebody Save Me, en revendiquant le fait d'être chanteur, et rien que chanteur, parce que c'est ainsi que les histoires se racontent.